Les sites liés aux légendes

Menhir de La Coudre Langourla

Scellé par nos lointains ancêtres, le menhir de la Coudre est à demi-renversé. La raison est fort simple. A la fin du XIXe siècle, des hommes creusèrent jusqu’à deux mètres de profondeur dans l’espoir de découvrir un trésor. Ces travaux de sape feront pencher l’énorme masse de granite mais ne laisseront point apparaître de trésor !

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L’allée couverte de l’épine Le Gouray

Vestige de l’ère néolithique, l’allée couverte de l’épine est également dénommée par les légendes populaires « La roche aux fées » ou « La table Margot ». Scrupuleusement orientées dans un axe « Nord-Ouest / Sud-Est », quatre tables posées en partie sur douze piliers de granite s’allongent sur 10,3 mètres. Quelques dalles ont été vraisemblablement pillées par le passé. Ainsi, cette allée couverte était, à l’origine, bien plus longue.

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Croquelien, Berceau et château des fées Margot – Le Gouray

Croquelien, Berceau et château des fées Margot – Le GourayLa formation du mont Croquelien remonte à l’ère primaire (-600 à -200 millions d’années). Sur une butte, un amas de blocs. Sous l’emprise des eaux et des racines, de l’oxydation de la pierre, des variations de températures, le temps, le massif granitique a connu d’importantes désagrégations chimiques et mécaniques au fil des millénaires. Il forme aujourd’hui un chaos aux noms évocateurs : la Baignoire de Margot, la Marmite des fées, le Portefeuille ou la Pierre Tremblante.

Ce lieu est le théâtre de nombreuses légendes, collectées à la fin du XIXè siècle par Paul Sébillot, historien et ethnologue breton, originaire de Matignon. Ce passionné de traditions populaires recueille de nombreuses légendes et chansons orales de la Haute Bretagne et les transcrit dans plusieurs ouvrages. Dans «Légendes locales de la Haute Bretagne. Le monde physique », chapitre 2 « la Terre », pages 106 à 115, sous chapitre VII « les Margot la fée », Paul Sébillot présente cette rude contrée de « Crokélien », qui était, au dire des croyances populaires, le domaine des fées Margot ou « Margot la fée », discrètes et parfois espiègles, qui peuplent encore de nos jours l’imagination de tous les habitants du Mené, les «menauds».

On raconte par exemple qu’un des dolmens contiendrait une barrique d’argent, qu’on ne peut enlever que le jour de Pâques, et ce, à condition de garder le silence le plus absolu. Un jour, des hommes de la région auraient réussi à saisir la barrique avec des cordes, mais au moment où elle commençait à sortir, l’un d’eux aurait dit « tiens bon, je l’avais » et, aussitôt, la barrique aurait disparu…

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Source de la Rance Collinée

Source de la Rance CollinéeQui n’a jamais entendu parler de l’estuaire de la Rance, de son célèbre barrage et de l’usine marémotrice, connue mondialement, puis qu’elle a été la première installation de production d’électricité utilisant l’énergie marémotrice. L’histoire du cours d’eau débute à Collinée. C’est en effet à une altitude de 258 mètres, près du village du Cas de la Plesse, que la Rance (en breton : Renk), prend sa source, une source alimentée selon la légende par les larmes de la sœur de Gargantua, le géant de Rabelais. Avant de se jeter dans la Manche, la Rance parcourt près d’une centaine de kilomètres (très exactement 102,2 km)

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Le Tertre Feuillet Le Gouray

Ces trois mystérieuses croix portent chacune des inscriptions : « Le Père » (croix centrale datant du Moyen Age) et, « Le Fils » et « Le Saint Esprit » (croix latérales). Elles bercent légendes et superstitions et saluent à chaque nuit depuis la guerre de 1870, le Revenant du Tertre Feuillet. Ce personnage est habillé d’une longue cape et d’un chapeau noir pour mieux le dissimuler. Il y a plusieurs décennies, par une nuit de pleine lune, un braconnier de Gomené osa l’affronter. Nombre de secrets et mystères planent encore sur cette rencontre fratricide. En effet, aujourd’hui, qui hante ces landes du Mené ? Le revenant du Tertre Feuillet ou le braconnier ?

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