À la découverte des 7 sentiers de balade du Mené
La Commune du Mené possède de nombreux chemins de randonnée qui vous permettront de passer un agréable moment en découvrant les richesses patrimoniales de notre territoire.
Sept circuits, un pour chaque centre-bourg, ont été balisés pour vous faciliter la découverte des paysages du Mené.
Les randonées sont de longueurs variables entre 4 et 8 kilomètres.
En général, un piéton marche entre 4 et 5 km par heure. Le temps pour effectuer les circuits est donc d’un peu plus d’une heure. Bien sûr cela dépend du circuit, de la forme physique de chacun et de ses envies !
La randonnée du Pas-es-Biche – Le Gouray
6 km – départ parking de la Mairie-Déléguée
La balade commence par le lieu-dit La Meuniais, par les sous-bois du chemin des Valamins. En remontant vers la Hautière, le promeneur découvre un magnifique point de vue sur la forêt de Boquen. Après la descente vers le Gué, nos pas nous entrainent dans la montée de la côte du Poulancre avec la Pas-de-biche au sommet. Une dernière petite boucle invite à la promenade le long du cours d’eau de l’Arguenon, pour retrouver à l’orée d’un bois les vestiges d’un pont ferroviaire. C’est l’un des ouvrages d’art utilisé sur la ligne reliant Dinan à Collinée dans les années 30. La ligne longue de 47.1 km a été créée en octobre 1925 et a disparu en avril 1937. Le passage par le Hameau du Mené et ses maisons solaires permet de rejoindre le centre-bourg en passant derrière l’ancien presbytère.
Le sentier « Au creux des chemins » – Saint-Gilles du Mené
4 km – départ parking de l’étang Guilliet
Le plan d’eau de Guilliet, qui a été rénové en novembre 2016, est alimenté par un petit cours d’eau, le Fromené, l’un des affluents du Lié, d’une longueur de 11 km. Pour profiter pleinement de cette balade, le promeneur est invité à suivre cette rivière pendant 2 km. Cela lui permet de rejoindre Ker-Yan grâce aux passerelles et à deux ponts de bois. Après une petite boucle par les Loges, nos pas nous ramènent vers le bourg en traversant la départementale en amont du lieu-dit le Beau Chêne. Ne reste plus, ensuite, qu’à parcourir le dernier kilomètre qui contourne le Tertre. A n’en pas douter, le sentier Saint-Gillois est parfait pour une petite promenade pédestre ouverte aux petits comme aux grands.
Le sentier des « Prom’nous » – Collinée
8 km – départ parking du plan d’eau du Baillot
Le sentier des Prom’nous est un circuit qui permet de découvrir le bourg de Collinée à partir du plan d’eau du Baillot et de son lavois. Ce circuit nous entraîne vers la médiathèque Simon d’Estienne qui a pris ses quartiers dans l’ancien couvent. Durant la balade, le promeneur passe devant la maison Richard. A n’en pas douter, elle ne laissera personne indifférent avec sa tourelle en pierre datant du 17ème siècle. Les randonneurs peuvent aussi découvrir la mairie-déléguée, classée au patrimoine des bâtiments de France. Après quoi, le retour au cœur du bourg se fait tranquillement, avec un passage devant l’église pour rejoindre le lotissement du Vieux-Lavoir et le fameux étang du Baillot.
La randonnée « Le Chaos de Quémelin » – Langourla
2 km – départ parking du Théâtre de Verdure
Le parcours pédestre de Langourla est baptisé le Chaos de Quémelin en raison des blocs et boules accumulés en vrac dans le lite ou sur les flancs de La Rance. Heureusement, la balade ne démarre pas les pieds dans l’eau, mais au Théâtre de Verdure, un lieu unique réalisé dans une ancienne carrière. Situé en lisière du bourg, ce Théâtre de Verdure est coiffé d’un immense voile blanc tendu entre des poutrelles horizontales. De quoi protéger les spectateurs lors des festivals ou d’offrir une oasis d’ombre aux promeneurs, avant le début de la balade. Une excursion qui permet de visiter le bourg de Langourla, son église Saint-Pierre ou bien encore sa Tour Saint-Eutrope dont la terre à proximité, arraché et apposée sur personne souffrante, permettait, selon la légende, d’apaiser les douleurs des malades. Les flâneurs, s’ils n’ont pas trop mal aux jambes, peuvent ensuite prendre la direction du menhir de La Coudre, puis du manège à chevaux de la Touche. Ils arrivent ensuite aux fameux Chaos de Quémelin avant de découvrir le château et la chapelle Saint-Gilles. Ils peuvent ensuite se rafraîchir à l’ombre du Théâtre de Verdure, point de retour à proximité d’un plan d’eau.
La randonnée « Autour des tertres » – Saint-Gouéno
1 km – départ parking de la salle des fêtes
Pour profiter pleinement de ce circuit, les promeneurs sont invités à partir de la salle des fêtes de Saint-Gouéno, avant d’emprunter le chemin de croix qui leur permet de rejoindre le Tertre et la chapelle Notre-Dame-des-sept-douleurs. Cette chapelle abrite en son sein une statue en bois de la Vierge Marie transpercée de sept glaives représentant les sept douleurs endurées par la Sainte au cours de sa vie. Ne reste plus, ensuite, qu’^suivre la route des Bannis en direction du village de la Picaudais. Après avoir parcouru le village de la Bichardaie, les promeneurs arrivent au Tertre de l’étang et rejoignent les nombreux circuits aménagés pour les vététistes.
« Le Chemin de Livoyer » – Plessala
5 km – départ Plan d’eau de la Chênaie
En contournant le plan d’eau par la gauche, le flâneur peut découvrir la sculpture symbolisant le jumelage entre Plessala et Bisley, ville anglaise. Après ça, il suffit d’emprunter la route à gauche, qui descend jusqu’au Gué-Plat, avant de bifurquer par le sentier de droite, qui permet de s’approcher d’un jardin très nature où l’on peut prendre un petit cours de botanique. La promenade bucolique n’est pas terminée puisqu’il s’agit ensuite de longer le cours d’eau pour poursuivre le chemin en sous-bois. Au bout de 2 km, une intersection s’offre aux pas des marcheurs. L’itinéraire se poursuit à droite, en empruntant le bief d’un ancien moulin et en longeant le cours d’eau. Les curieux peuvent toutefois continuer tout droit. Cela leur permet de découvrir les ruines du Moulin-Neuf. Pour retrouver le sentier, il suffit de grimper les quelques marches sur la droite. Au bous du chemin, voici le village de Livoyer. Sur la route, les promeneurs peuvent admirer un vieux manoir restauré. L’édifice présente notamment une magnifique tourelle escalier qui date du 1628. Ensuite, ne reste plus qu’à suivre le fléchage et à emprunter une montée un peu raide, qui met les jambes à l’épreuve. Avant de retrouver le chemin de terre qui les conduit au plan d’eau bouclant la randonnée, les flâneurs passent près d’une croix aux bras courts. Cette croix des Longuerais, à l’intersection des routes du Livoyer et du gué, date du Moyen-Âge.
La randonnée « Le bon réconfort » – Saint-Jacut du Mené
6 km – départ parking du plan d’eau